D’un côté le sachet – fruit d’une vision industrielle de la « chose naturelle » formatée pour l’homme.
De l’autre une esthétique naturaliste, qui n’est pas une réflexion écologico-enthropocentrique, mais une vision sensible de la vérité intime des êtres et des choses.
Le vécu singulier de chaque être, sachet – objet et sujet, devient intelligible au travers de l’expérience du contact visuel et sensoriel direct avec l’œuvre.
Nous nous plaçons dès lors en dehors du temps… apprenant avec lenteur à retrouver nos rythmes intérieurs…
L’œuvre se trouve à conjonction de l’expérience esthétique et de la recherche spirituelle.
Ce n’est pas du monde autour de soi, mais du monde en soi dont il est question …